vendredi 6 juillet 2007

Seattle : Day 3

Le dernier ptit déj’

Mercredi 27 juin 2007, nous nous sommes levés dans la matinée pour le deuxième et dernier petit déjeuner à l’hôtel. La machine à gaufres, les muffins, les donuts ou encore les montagnes d’omelettes au bacon vont nous manquer, mais il est temps de prendre la route pour l’aéroport.

La ballade
Après une petite promenade sur l’autoroute jusqu'à Tacoma située à 15km de l’aéroport de Seattle, nous réalisons que nous ne sommes pas dans la bonne direction ou, au choix, que nous n’allons pas au bon endroit. Effectivement, d’après les chaînes de télévision de l’hôtel à Tacoma, il n’y aurait que les Jackass locaux qui lancent des dollars du haut d’une rampe de skate énorme.

Le vol pour Amsterdam

Arrivés à l’aéroport, nous laissons rapidement notre énorme 4x4 au parking des locations. Le temps commence à manquer et on ne sait jamais ce qu’il peut se passer à la douane. Nous arrivons, en suivant les instructions de madame « End of Line » (une personne payait pour indiquer la fin de la file d’attente), dans la foule pour l’enregistrement des bagages, deux heures d’attente en prévision, quand soudainement Thomas nous fait signe que l’on peut passer avec lui au guichet Business, car il a la carte de fidélité de la compagnie. Nous voilà donc prêts à embarquer.

Suivront deux heures d’attente dans l’avion pour un problème de climatisation, un hypocondriaque bavard à côté de Johanna, Vincent et Nathalie, et nos correspondances à Amsterdam ratées à cause du retard.


Johanna, ainsi qu’une responsable de Microsoft et des journalistes de canal+ / i-télé ont eu la chance d’avoir un vol pour Paris immédiatement. Nous autres (Nathalie, Vincent, Thomas et moi), nous avons la chance d’avoir l’unique autre vol pour Marseille cinq heures plus tard.


L’atterrissage à Marseille

Le vol jusqu’à Marseille s’est bien déroulé, mais c’est à l’atterrissage qu’un petit problème de pneu crevé nous a immobilisés pendant encore une longue demi-heure. Nous avons vu 4 camions de marins pompiers de Marseille de très prés, étant donné que nous sommes descendus sur la piste de l’aéroport face à eux, prêts à une intervention. Un bus nous attendait pour nous amener à la porte de débarquement.

Nous avons conduit Thomas à La Ciotat, et enfin nous avons pu rentrer chez nous pour dormir, nous reposer, pour être en forme le lendemain et reprendre le travail…

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